Les moustiques ont développé une résistance, d'où le besoin de médicaments antipaludéens. Cette résistance appelle à des fins thérapeutiques un intérêt pour les alternatives thérapeutiques, dont les plantes médicinales. Une enquête ethnopharmacologique a été menée auprès de 15 guérisseurs traditionnels, recommandés par le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle à l'aide d'entretiens semi-directifs dans la ville de Bouna. L'enquête ethnobotanique menée en 2019 a permis d'identifier 32 espèces végétales appartenant à 30 genres et regroupées en 19 familles. Les familles les plus représentées étaient les Fabaceae (5 espèces), les Anacardiaceae (4 espèces), les Annonaceae (3 espèces), les Rubiaceae, les Zingiberaceae, les Asteraceae et les Combretaceae avec 2 espèces chacune. Les espèces étaient majoritairement des arbres (63,63%). Les feuilles étaient les parties des plantes les plus fréquemment utilisées (44,4%). Les résultats de nos investigations montrent que le mode le plus utilisé est la décoction (42,22%). La voie orale (60%) est le mode d'administration le plus utilisé. Ces espèces complètent la liste non exhaustive des plantes médicinales qu'utilisent les populations de Côte d'Ivoire. Il a été découvert que les habitants de cette région utilisent couramment des plantes médicinales avec la confiance qu'ils ont fondée sur les résultats curatifs observés. Cependant, cela crée un travail supplémentaire pour tester l'activité antiplasmodiale et développer des médecines traditionnelles améliorées (MTA). les gens de cette région utilisent couramment les plantes médicinales avec la confiance qu'ils ont fondée sur les résultats curatifs observés. Cependant, cela crée un travail supplémentaire pour tester l'activité antiplasmodiale et développer des médecines traditionnelles améliorées (MTA). les gens de cette région utilisent couramment les plantes médicinales avec la confiance qu'ils ont fondée sur les résultats curatifs observés. Cependant, cela crée un travail supplémentaire pour tester l'activité antiplasmodiale et développer des médecines traditionnelles améliorées (MTA).

Ce travail de recherche part du constat que malgré la mise en œuvre de nombreuses interventions de prévention à l’endroit des étudiants de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), les comportements sexuels à risque persistent. Aussi, nous sommes nous interrogés sur les causes de cette persistance dans une population censée être plus réceptive aux messages de sensibilisation vu son niveau d’instruction. Selon l’hypothèse de recherche la persistance des comportements sexuels à risque chez les étudiants de l’UFHB est fonction de la conjugaison de certains facteurs socio-culturels et European Scientific Journal April 2016 edition vol.12, No.11 ISSN: 1857 – 7881 (Print) e - ISSN 1857- 7431 439 économiques. Ainsi, une étude transversale a été menée et les données ont été recueillies par le biais d’un questionnaire, d’un guide d’entretien semi directif et d’une grille d'observation. Les déterminants identifiés sont les croyances magico-religieuses, la propagande agressive des images et scènes à caractère sensuel et pornographique ainsi que les conditions de vies socioéconomiques difficiles.

La quête de résilience des séniors passe souvent par une participation à la vie associative. Dans ce cadre, les séniors de l’Association Diabète Sport Côte d’Ivoire ont fait l’objet d’une recherche qualitative avec pour objectif d’étudier l’impact de leur vie associative sur leur santé. Les outils utilisés sont des guides d’entretien et de lecture. Les données recueillies ont fait l’objet d’une analyse de contenu thématique. Les résultats montrent que le sport, le lien social et la valorisation des séniors aux yeux des membres de leur famille et de la société améliorent leur santé physique et psychologique.